CHRONIQUE – CHEMICAL SWEET KID

CHEMICAL SWEET KID

Fear Never Dies

DARKTUNES MUSIC GROUP

Sortie le 15 novembre 2019

Fear Never Dies est le 5e album du trio français. Dans un style electro rock indus, JULIEN KIDAM, fondateur du groupe en 2008, nous amène, comme à son habitude, dans un univers sombre et autodestructeur.

On retrouve toujours les premières influences électro goth du groupe belge SUICIDE COMMANDO auxquelles s’ajoutent des sonorités à la COMBICHRISTMARYLIN MANSON ou encore ROB ZOMBIE

Ce nouvel opus offre des sonorités plus metal que les précédents, grâce à la façon de chanter de Julien, l’ajout de guitares enregistrées à Hambourg par CHRIS HARMS, chanteur de LORD OF THE LOST,  ou encore à une collaboration avec MARCUS ENGEL, guitariste de RABIA SORDA  sur  « Lost Paradise ». 

Composé de 14 titres originaux et de 2 remixes plus électro, l’un d’AGONOIZE et l’autre de NACHTMAHRFear Never Dies s’écoute d’une seule traite.

En effet, tout en étant homogène il offre des morceaux variés toujours noirs, parfois dansants comme « Dance With Shadows », parfois mélancoliques voire angoissants comme « Forgiven » ou « To The Grave ». On retrouve le thème de l’autodestruction dans « Playing with Knife »

« Sick of you All » petite comptine avec boîte à musique, casse le rythme pour mieux repartir sur la fin de l’album qui se termine par les remixes des excellents « Lights Out » et « Lost Paradise ».

A noter également l’artwork réalisé par WENDY SABER CORE, qui n’est pas sans rappeler la représentation d’Addicted To Addiction mais dans un style beaucoup plus sombre que les  autres albums.

A écouter encore et encore !

Pour marque-pages : Permaliens.

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