La Roar Team pousse son premier cri et se lance dans la bagarre Hellfest édtion 2017: Roarrrr ! Nous étions beaux pour certains, nous étions jeunes pour d’autres, nous étions surtout là et nous vous livrerons cette épopée comme nous l’avons vécue. En espérant surtout pouvoir vous faire vivre ou revire un peu de cette aventure à travers des photos, des anecdotes, des reports, des interviews et tout ce que vous voudrez bien partager avec nous !
- DarkAM
Une grande première pour moi ! C’est en tant que photographe que je fais mon entrée au Hellfest ! Quel honneur, quelle fierté, quelle joie…. Bon vous avez compris le principe ! Une chaleur accablante s’abat sur cette 12éme édition mais ce n’est pas ce qui va me retenir; dès le jeudi, je me lance à l’assaut du site à la décoration digne d’un studio de cinéma ou d’un Broadway pour metaleux et là, la claque ! PUTAIN que c’est beau ! Il y a tellement de choses à faire que je ne sais pas par quoi commencer !
La première journée du jeudi est bien remplie par les différentes activités proposées, du coup on ne la voit pas passer ! Le vendredi, les choses sérieuses commencent. Je ne m’étalerai pas sur les différents groupes que j’ai pu voir durant ces trois jours car nos reporters tout terrain feront ça bien mieux que moi. Les jours passent à une vitesse hallucinante et on en prend plein les yeux et les oreilles (sans oublier le gosier).
La fin est déjà là et je ne suis pas encore sorti du site que je me languis déjà l’année prochaine. Merci à Mlle S de m’avoir lancé dans cette aventure… je ne l’oublierai jamais, ma première fois !
- Otis Mon Scrib
Après avoir minablement raté 2016, que j’étais content de remettre les pieds à Clisson pour mon 4ème Hellfest… Une très belle mais très physique édition, forcément dû à cette incroyable canicule. Que dire sinon ? Le bonheur contagieux, les grosses claques, les copains mais aussi les rencontres. La même recette, le même doux mais gras refrain. Comme si je n’avais jamais quitté Clisson !
Et je tiens à tirer mon chapeau aux plasticiens et décorateurs qui se sont surpassés à nouveau, surtout pour l’espace presse/VIP. La suite arrive…
- Mlle S
Cette édition 2017 était spéciale à bien des égards…
D’une part concernant le fest avec le déplacement du VIP près des scènes Temple et Valley. Déplacement mais pas que, refonte complète, déco superbe, car avant tout et pour ceux qui ont hurlé « à bat les privilégiés », le VIP reste la carte de visite du Hellfest. L’endroit où l’on travaille pour les conférences de presse, les interviews, où les artistes passent et se posent. Où les performeuses déroulent leurs shows, où les pin-up s’encanaillent sur pellicules et c’est à partir de là que tout ceci part à travers le monde pour vendre le Hellfest et lui donner la renommée qu’il a aujourd’hui. Je ne suis pas sûre que Mr Steven Sparrow Tyler, par exemple, ait apprécié de s’épancher à la croissanterie sur le parking du Leclerc autour d’un jus d’orange coupé à l’eau… On a travaillé dur, on travaille encore, pas vu un concert, à peine posé nos fesses, mais à refaire, je repars demain !
Spéciale également car quand tu penses tout connaître, tout avoir vu et que tu frimes avec ta science face aux nouveaux en mode bizutage, le Hellfest t’étonne encore et toujours. Plus grand, plus beau, encore mieux organisé, sécurisé au top, bref, comme le vin du pays, chaque année le cru de l’enfer se bonifie. Il va devenir un « must to go » si ce n’est pas déjà le cas !
Spéciale enfin car c’est la première de Roar Renegade, un nouveau webzine qui fait suite à Metal Sickness. On a perdu notre boss, JL, on s’est roulés en boule tels des porcellions, puis on a fait face. On a resserré les rangs, beaucoup sont toujours là, d’autres plus… du sang neuf est venu nourrir ce projet qui parle donc de la musique qu’on écoute mais aussi de la culture qui va avec !
C’est ainsi qu’on est entrés dans cette arène 2017, un peu groggy, tout était familier sans vraiment l’être… Un peu comme un sportif qui revient après une grosse blessure. Heureusement on a croisé les « copains-peoples » (voir ci-dessous) qui nous ont fait pleins de bisous, ça nous a remis dans le bain! Quant aux « peoples-peoples », on stage ou en interview, ça arrive au fil des jours. Alors restez attentifs et dites-nous si à l’issu de notre cycle « Hellfest » si la Roar Team a réussi son pari !