Vous êtes originaires de Strasbourg, qu’est-ce qui vous a donné envie de choisir ce nom de groupe ?
Iron Bastards nous est venu assez naturellement… « Bastard » ça correspond bien à notre état d’esprit par rapport au meltingpot de nos influences qui donne au final quelque chose d’assez bâtard… Et on a endurci tout ça avec un bon coup d’ « Iron » (rires).
Niveau date c’est vous qui bookez ou vous êtes aidés ?
La majorité des dates est bookée par notre chanteur. Ça peut également nous arriver de travailler avec des « structures » plus pro au sens large du terme mais ça reste rare pour l’instant.
Comment on se sent lorsqu’on partage la scène avec les légendaires Nashville Pussy ?
On a joué plusieurs fois avec eux, ça s’est super bien passé, ça a matché de suite. Le courant est passé de manière assez spontanée. On est ravi d’avoir partagé la scène avec eux !
Peux-tu nous parler du Bastards Fest ?
C’est un festival qu’on organise depuis 2017 et qui a vocation à faire découvrir au public Strasbourgeois qui nous suit depuis le début, des groupes avec qui on a pu tourner pendant toute l’année, mais qui viennent d’ailleurs.
Qu’est ce qui vous a inspiré pour la pochette ainsi que pour le titre de ce troisième opus ?
On voulait aborder quelque chose d’un peu plus ésotérique, d’un peu plus mystique mais aussi construit et complexe. Ça reflétait bien l’ambiance qui pouvait se dégager des morceaux qui le composent.
Du coup, on va dire que le nom Cobra Cadabra, est est aussi un petit clin d’œil à Black Sabbath en développant encore plus la thématique du serpent.
Comment votre public a-t-il accueilli ce nouvel opus ?
Dans l’ensemble on est satisfait car on a de bon retours du public. Les gens ont été agréablement surpris par ces ré-enrichissements de notre musique habituelle. Ils ont été très réceptifs aux nouveaux motifs musicaux qu’on a pu rajouter aux compositions plus classiques que l’on avait l’habitude de faire.
Qu’est-ce qu’on peut vous souhaiter pour la suite ?
Continuer sur notre lancée, pouvoir diffuser un maximum notre musique, avoir plus d’opportunité pour s’exprimer et donner de la visibilité à notre groupe.
Continuez à soutenir le rock et les petits groupes comme nous. Merci à tous!
Chronique de l’album :
