Nickelback: Feed The Machine

Alors oui,  Nickelback  a cette étiquette collé dans le dos depuis des années, celle d’ un groupe bankable qui était a une certaine époque l’ un des plus gros vendeur rock aux States. Une étiquette qui c’est un peu écornée depuis quelques temps maintenant, même si ce Feed The Machine a quelques titres taillés pour les ondes.

Si l’on fait abstraction de quelques  morceaux,  on sent une belle énergie dans ce skeud. Comme sur le premier titre,  toutes guitares dehors avec une petite touche indus du plus bel effet, et la voix de Chad Kroeger qui colle très bien à ce genre.

Mais force est de constater que plus l’ album avance plus on revient au source de ce qu’ est Nickelback: un groupe de Big Rock avec des refrains tailler pour les bandes FM américaines.

Dommage… la saveur du premier titre annonçait un album bien pêchu mais au fur et à mesure on perd cette gnaque pour arriver sur un titre comme « Every Time We’ re Together ». Ballade sans réelle saveur, le tout pour conclure  sur un instrumental où je me suis ennuyé… 

Certes les thèmes abordés dans ce Feed the Machine sortent un peu des sentiers battus, et usités par le groupe. On est ici dans des textes proche d un livre de SF sur l’oppression des machines, mais on a également l’impression que plus l’ album avance et moins le groupe assume ces changements pour revenir au final à ce qu il font depuis tant d’ années:  un big rock us.

A propos Mlle S

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